Les dangers méconnus de la crème solaire

La crème solaire comporte-t-elle des dangers pour notre peau et notre organisme ? Peut-on faire confiance aux crèmes solaires pour les enfants ? Toutes les réponses dans cet article.

Les produits solaires représentent chaque été des millions de ventes. Face à cet achat, différents comportements sont possibles.

Il y a ceux qui choisissent une crème avec un packaging attrayant, une marque en laquelle ils ont confiance, une marque de parapharmacie, ou une grande marque car forcément, les produits doivent être de qualité, ou une crème vue dans un magazine.

Et puis il y a ceux qui courageusement cherchent à comprendre ce qui est écrit si petit sur chaque emballage (la fameuse liste des ingrédients !), et qui s’interrogent sur l’innocuité de certains composants, que ce soit pour eux ou pour leurs enfants.

Quand j’étais plus jeune, je me trouvais dans la première catégorie, sans me poser de question. Je choisissais une marque présente en supermarché, et n’ayant pas de préférence particulière pour une marque ou une autre, mon choix final se faisait en fonction du packaging.

Quand je suis devenue maman, j’ai commencé à m’intéresser à la composition des produits destinés aux bébés : composition des couches, composition du lait infantile, composition des produits de soins et d’hygiène et forcément, composition des produits solaires. Mais n’ayant aucune connaissance me permettant de comprendre les étiquettes, je faisais confiance aux tests produits des magazines Que choisir et 60 millions de consommateurs et aux marques de parapharmacie. Seulement ces magazines ne testent pas tous les produits disponibles et les tests portent surtout sur l’efficacité des crèmes (ce qui est tout aussi important).

Et puis je suis devenue naturopathe. A partir de là il ne m’était plus possible de ne pas réussir à comprendre par moi-même ce jargon scientifique, quel que soit le produit. Qu’il s’agisse d’une crème, d’un shampoing, d’un complément alimentaire ou d’un médicament en vente libre, mon premier critère de choix se base sur la composition complète du produit. Je traque systématiquement les substances indésirables et les perturbateurs endocriniens, autant pour moi que pour mes enfants. Cela m’a permis d’éliminer totalement de nombreuses marques que j’utilisais et en lesquelles j’avais pleinement confiance auparavant, notamment les grandes marques et les marques de parapharmacie.

Quand je vous recommande un produit pendant une consultation, cet aspect est toujours pris en compte. Malheureusement, n’espérez pas obtenir un conseil avisé de votre pharmacien, de votre dermatologue ou de votre médecin, rares sont ceux qui y sont sensibilisés. De plus le pharmacien est intéressé sur la vente des produits de parapharmacie, difficile dans ce cas d’être objectif et de recommander un produit vendu ailleurs que dans son officine !

Alors à la fin de cet article, vous pourrez choisir votre crème solaire en toute connaissance de cause !

Comment choisir sa crème solaire ?

Pour éviter les effets délétères du soleil sur la peau (coup de soleil, vieillissement prématuré ou accéléré, cancer…), la crème solaire permet d’assurer une protection, contre les UVA et contre les UVB. Elle doit aussi être bien tolérée par la peau.

Certaines substances chimiques, mais aussi naturelles comme les allergènes, peuvent être irritantes et créer des allergies cutanées (rougeurs, démangeaisons…). Les peaux les plus réactives et sensibles doivent donc privilégier les protections solaires hypoallergéniques (qui vont minimiser le risque d’allergies), et sans parfum.

Une crème solaire doit aussi être exempte de perturbateurs endocriniens, perturbateurs qui ont la capacité de mimer le fonctionnement de certaines hormones et de se substituer à elles, venant ainsi perturber le bon fonctionnement du système endocrinien. Et alors qu’un nombre incalculable d’études fait le lien entre les perturbateurs endocriniens et leurs effets potentiels sur la santé, ils sont présents dans la majorité des produits solaires, quelles que soient les marques, et aussi, plus inquiétants, mais aussi totalement incompréhensibles, dans des produits destinés aux bébés et aux enfants, les plus sensibles aux dommages des perturbateurs endocriniens !

A noter que l’imprégnation excessive de certains enfants aux perturbateurs endocriniens conduit à avancer l’âge de la puberté, parfois de manière complètement anormale. On voit ainsi de plus en plus de petites filles qui sont formées à 8 ans, conséquence directe de cette exposition.

Endométriose, SOPK ou problèmes de fertilité, ces pathologies ont toutes en facteur favorisant commun les perturbateurs endocriniens. Ils constituent un véritable problème de santé publique. Et les autorités scientifiques et les marques sont pourtant bien au courant.

Quelles crèmes solaires éviter ?

Les filtres solaires sont autorisés par une réglementation européenne. Les parabens les plus dangereux ont été interdits en 2014 mais plusieurs substances très controversées sont encore présentes dans de nombreux produits solaires et les réévaluations sont régulières.

J’ai choisi de parler ici des molécules chimiques les plus problématiques et qu’il faut mieux éviter. Attention aux crèmes qui comportent :

  • Du phénoxyéthanol

Utilisé comme conservateur pour empêcher le développement bactérien dans les produits de beauté en général, il est reconnu comme potentiellement dangereux pour les bébés et les enfants, comme allergène pouvant entraîner de l’eczéma et de l’urticaire chez les personnes intolérantes, toxique pour le foie et la fertilité de l’homme si utilisé en excès. À proscrire chez les personnes allergiques, les enfants, les femmes enceintes et celles qui allaitent. 

  • De l’oxybenzone

Ce filtre chimique se trouve aussi sous l’appellation benzophénone-3 ou BP3. Il est suspecté d’être un perturbateur endocrinien, cancérigène et serait allergisant. À proscrire chez les enfants et les femmes enceintes.

  • De l’avobenzone

On le trouve souvent sous l’appellation butyl methoxydibenzoylmethane, il est suspecté d’être un perturbateur endocrinien et est polluant pour l’environnement. On le trouvait par exemple dans la crème solaire « Visage anti-rides » SPF 50 de la marque Caudalie en 2020. La marque a depuis revu toutes ses formules.

  • De l’octocrylène

Ce filtre solaire est allergisant et potentiellement cancérigène. Les marques La Roche-Posay, Lancaster, Mixa et Ambre Solaire y ont recours. 

  • Du BHA ou BHT

Perturbateurs endocriniens, utilisés chez Lancaster.

  • Du cyclopentasiloxane

Cet ingrédient utilisé comme émollient perturbe le fonctionnement endocrinien. On le retrouve dans la crème minérale Avène SPF 50+ mais aussi dans les références solaires de Lancaster.

Crème solaire minérale à éviter

  • Du parfum

Sous l’appellation parfum ou fragrance se cachent en fait des phtalates => perturbateurs endocriniens. Il faut opter pour une crème sans parfum, cela est précisé sur l’emballage. La majorité des crèmes solaires en sont dotés.

  • De l’ethylhexyl methoxycinnamate

Perturbateur endocrinien reconnu quand utilisé à haute dose et potentiellement cancérigène. Impact in vivo prouvé sur la fonction thyroïdienne. On en trouve par exemple dans la crème « Sun kids » SPF 50 de Lancaster !

Crème solaire toxique

  • Des filtres minéraux sous forme de nanoparticules

On les trouve mentionnés comme ceci « oxyde de zinc [nano] » et « dioxyde de titane [nano] ». Leur utilisation permet d’éviter l’effet blanc dans les produits solaires utilisant des filtres minéraux. Leur petite taille favorise la pénétration dans l’organisme. Elle devient problématique en cas d’inhalation. Les nanoparticules d’oxyde de zinc et de dioxyde de titane sont par conséquent interdites dans les aérosols et autres produits pulvérisables. Par principe de précaution, je déconseille l’utilisation de crèmes solaires avec nanoparticules.

Les marques Patyka et laboratoires de Biarritz en ont…

  • Du methylene bis-benzotriazolyl tetramethylbutylphenol

Ce filtre chimique anti-UV se trouve sous forme nanoparticulaire. Il est considéré comme sûr par le CSSC (Comité Scientifique européen pour la Sécurité des Consommateurs) mais les études ne portent pas sous sa forme nanoparticulaire ! En attendant les preuves formelles de son non-toxicité, je recommande d’éviter les crèmes le proposant sous cette forme précise comme le lait solaire SPF 50+ dédié aux enfants de la marque Avène. On retrouve sur le tube la mention « Peau sensible de l’enfant ». On peut supposer que les enfants avec une peau sensible ont davantage de risques d’avoir des lésions cutanées dues à des irritations par exemple. D’une manière générale les enfants ont fréquemment des plaies. Or les molécules sous la forme nano ne doivent absolument pas être appliquées sur une peau lésée (coupée, brûlée ou irritée) afin d’éviter la pénétration dans l’organisme.

  • De l’homosalate

Voici une nouvelle molécule, que je n’avais pas listée en 2020, et pour cause, elle était considérée comme sûre en 2007 par le CSSC, avec un dosage pouvant aller jusqu’à 10%. Mais en 2021 les recommandations ont radicalement changées ! Le CSSC reconnaît que l’homosalate représente un danger pour la santé humaine quand il est utilisé aux dosages précédemment autorisés ! Le niveau est abaissé à 0,5% ! A noter qu’il pourrait aussi être néfaste pour la faune et la flore.

Certaines marques continuent de mettre en avant son utilisation, c’est le cas de l’Oréal, pour laquelle la mise en avant de l’homosalate est assez édifiante ! 

Faut-il choisir une crème solaire avec des filtres minéraux ?

A la différence des filtres chimiques, les molécules utilisées ne sont pas absorbées par la peau mais restent à sa surface. Elles agissent comme une barrière en réfléchissant les rayons UV. Leur protection est immédiate. Les molécules utilisées sont l’oxyde de zinc et/ou le dioxyde de titane qui peuvent l’être sous forme de nanoparticules. Les marques ont l’obligation de le préciser. Comme précisé précédemment, il vaut mieux éviter une crème si vous voyez la mention « nano » et ne pas l’utiliser sur une peau abîmée ou sur un coup de soleil.

Seuls les filtres minéraux peuvent être labellisés « bio ». Ils sont conseillés pour les peaux sensibles et allergiques au soleil. Je les conseille aussi pour les bébés et les jeunes enfants car ils ne comportent aucun perturbateur endocrinien.

Par contre ils laissent généralement des traces blanches sur la peau à l’application, qui s’estompent néanmoins quelques temps après l’application. Cet aspect est souvent vu comme un inconvénient, il permet néanmoins de voir si toutes les zones du corps exposées ont été couvertes. 

Toutes les crèmes bios sont-elles fiables ?

Et bien non ! En 2022, le magazine Que choisir (juillet 2022) avait mis à l’index la crème solaire Cattier car la protection annoncée n’était pas au rdv. 

Quelle est la meilleure protection solaire ?

Mon meilleur choix de crème solaire pour enfants

La meilleure protection reste de porter un vêtement léger mais couvrant et clair, ou un vêtement anti-UV, un chapeau et des lunettes de soleil. Les heures les plus chaudes sont à éviter et sont formellement déconseillées aux bébés. Je vois trop souvent des bébés exposés en plein soleil en été sans même un chapeau. Le capital soleil est particulièrement impacté par des expositions excessives pendant l’enfance. La moitié des rayons du soleil qui endommagent les couches profondes de la peau sont reçus avant l’âge de 20 ans. Des comportements à risque répétés chez les plus jeunes peuvent donc avoir des incidences sur la santé cutanée en étant adulte. Environ 60.000 nouveaux cas de cancer cutané sont diagnostiqués chaque année en France et 80% d’entre eux sont dus à une exposition excessive pendant l’enfance ou à une absence de protection solaire pendant l’enfance. Donc pour la balade avec bébé, on la fait avant 11h ou après 16h. Dernier conseil car je le constate encore et toujours, ce n’est pas parce que l’on est bronzé, enfant ou adulte, que l’on peut se passer de crème solaire. On peut seulement passer d’un SPF 50 à un SPF 30.

Pendant les vacances d’été, la panoplie pour les enfants est donc : vêtements anti-UV à la plage ou à la montagne, chapeau, lunettes de soleil et crème solaire avec des filtres minéraux ou chimiques mais en évitant les marques citées plus haut. 

Niveau crème solaire, je recommande Photoderm Pediatrics Lait SPF50+ de Bioderma ou la Mustela. Attention je parle bien ici de la gamme PEDIATRICS de Bioderma. Car leur gamme Photoderm est sinon totalement à éviter, et se retrouve d’ailleurs dernière du classement Que choisir 2023 sur les crèmes solaires !

Crème solaire enfant bioderma

Mon meilleur choix pour les adultes

Je n’ai pas cité toutes les marques proposant des produits solaires mais j’en ai examiné bien d’autres et la plupart des crèmes utilisant des filtres chimiques ont aussi recours à des perturbateurs endocriniens ou d’autres substances controversées.

Je conseille l’achat de la crème Mustela “lait solaire très haute protection, SPF 50+” pour Bébés, Enfants, Famille. Mustela utilise des filtres chimiques mais sans perturbateurs endocriniens. 

Quand l’exposition au soleil, même aux heures les plus chaudes, se limite à 20 à 40 minutes, il n’y a pas de risque à s’exposer sans crème solaire. Pendant cette durée, l’organisme activera son mécanisme d’auto-protection (la mélanine). C’est aussi la durée nécessaire à l’organisme pour synthétiser la vitamine D.

Au-delà de cette durée, il faut éviter de s’exposer ou se protéger.

Utiliser une crème solaire avec des filtres chimiques de manière ponctuelle pendant l’été n’a heureusement pas forcément d’incidence sur la santé. C’est davantage l’effet cocktail qui est impactant, le fait de baigner potentiellement dans un environnement empreint de perturbateurs endocriniens. Il faut donc tenir compte de votre santé et de la santé de votre peau (problèmes de peau, lésions, sensibilité…).

Par contre, si vous avez un problème de thyroïde, des troubles directement liés à votre cycle hormonal (problèmes de fertilité, endométriose, cycles irréguliers…), des troubles métaboliques comme le diabète, le surpoids ou l’obésité, alors évitez le plus possible de vous exposer aux perturbateurs endocriniens. Les crèmes solaires avec filtres chimiques sont ici à proscrire.

Au moment de faire votre choix, certaines applications telles que INCI Beauty, Clean beauty ou Quelcosmetic pourront aussi vous aider. 

Quelcosmeticinci beautycleanbeauty

Quelle marque de crème solaire ne pas acheter ?

Généralement, les marques ont au moins une référence un peu mieux que les autres (ou moins pire !). Mais parmi les marques analysées, une marque se distinguait par l’homogénéité de sa gamme. L’an dernier, toutes les références Lancaster Sun Beauty comprenaient le maximum des perturbateurs endocriniens et autres substances controversées que j’ai pu voir. Cette année ils ont sorti une nouvelle gamme, Lancaster Sun Sensitive, moins pire mais toujours à éviter à cause de l’utilisation de l’isoamyl p-methoxycinnamate. 

Quelques précautions à prendre

Les produits solaires qui contiennent une protection chimique doivent être appliqués 15 à 30 minutes avant que la peau soit exposée pour que celle-ci ait le temps d’absorber ces molécules. Si vous appliquez de la crème solaire à vos enfants juste avant d’aller à la plage ils ne seront pas protégés pendant une trentaine de minutes, une durée suffisante pour attraper un coup de soleil, et dans tous les cas pour endommager les cellules profondes de la peau.

Rester à l’ombre ne dispense pas d’appliquer une protection car 50% des rayons UV sont présents à l’ombre, que ce soit derrière un parasol ou derrière les vitres d’une voiture.

Un écran total n’existe pas, c’est un argument purement marketing. Il y a toujours une partie des rayons UV qui pénètrent dans la peau, même avec une crème solaire, d’où les recommandations de ne pas s’exposer entre 11h et 16h en été.

Une crème solaire devrait être appliquée toutes les 2h. Mais chez les bébés, l’application doit être renouvelée une première fois 30 minutes après le début de l’exposition, puis toutes les deux heures. Leur peau étant beaucoup plus fine et fragile.

La crème doit à nouveau être appliquée après une baignade, même avec un produit waterproof, qui permet simplement de se baigner en étant au soleil. Mais la moitié des filtres anti-UV partent dans l’eau.

Le sable transmet 20% des rayons UV. Il est donc préférable d’installer votre bébé sur une serviette plutôt que directement sur le sable.

Respectez la date de péremption de votre crème et ne la gardez pas d’une année à l’autre si elle a été utilisée.

Ne vous parfumez pas sur la peau car de nombreux parfums renferment des molécules pouvant provoquer des allergies au soleil ou laisser des tâches cutanées.

Si vous prenez certains médicaments, sachez qu’ils peuvent rendre la peau plus sensible aux UV, avec des manifestations allergiques. Il vaut mieux éviter de s’exposer si vous prenez :

  • un bêta-bloquant,
  • un diurétique,
  • un antibiotique,
  • une crème anti-inflammatoire à base de corticoïdes,
  • un neuroleptique.

Enfin, certaines huiles essentielles sont photosensibilisantes et ne doivent pas être appliquées sur la peau avant de s’exposer au soleil. Elles ne doivent pas non plus être prises par voie orale car les risques sont les mêmes. Ces huiles essentielles peuvent, au contact des rayons UV, entraîner des éruptions cutanées, des rougeurs, des taches brunes ou claires (très difficiles à faire partir), des cloques, ou une dépigmentation irréversible.

La crème solaire maison, une bonne idée ?

Je vois de plus en plus de recettes de crème solaire maison qui utilisent certaines huiles comme celle de noix de coco. Aucune de ses huiles ne peut égaler un des filtres solaires évoqués avant. Votre peau sera peu protégée, avec un risque de lésions cutanées beaucoup plus grand. De plus les crèmes solaires qui sont commercialisées sont testées, leur capacité de protection est mesurée, ce qui n’est évidemment pas possible avec une crème solaire préparée par vous-même. Il est donc impossible de déterminer quel serait son niveau de protection. Devant cette incertitude, je déconseille donc fortement l’utilisation d’une crème solaire maison et dans tous les cas JAMAIS pour les enfants.

En conclusion

Le choix de ce produit, en apparence anodin, peut être un vrai casse-tête. Les industriels ont encore beaucoup de progrès à faire pour nous proposer un produit solaire sain et efficace et qui est agréable à appliquer. 

Les principales mesures de prévention, si vous souhaitez préserver votre peau et votre capital soleil, et ne pas vous retrouver avec une peau fripée et ridée de manière prématurée, restent de se couvrir et surtout d’éviter de s’exposer directement au soleil pendant les heures les plus chaudes. 

Alors pour bien profiter de l’été, on recherche l’ombre, on porte un chapeau et des lunettes et si on prévoit d’être dehors pendant plusieurs heures, on applique une crème solaire, avec des filtres minéraux ou chimiques (dans ce cas plutôt sans parfum et hypoallergénique). 

Bel été à vous !

Ma recommandation finale : le lait solaire SPF 50+ de chez Mustela

crème solaire Mustela

Mise à jour du 12 juillet 2023

Que choisir vient de sortir son numéro consacré aux tests de différentes crèmes solaires (efficacité, innocuité, ingrédients indésirables, etc..).

Voici leur top 3 :

  • Crème solaire la Rosée SPF 50 => l’application est agréable mais je regrette la présence de parfum
  • Crème solaire Mustela SPF 50 => celle que je vous recommande est donc n°2 du panel de crèmes testées
  • Crème solaire Acorelle, SPF 50 => elle se trouve en magasin bio ou chez Mademoiselle bio ici

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